Paul, Le Mari Candauliste DÉva
Paul, le mari candauliste dÉva (et de Marie pour les récits avec le Matou Libertin)
À rapprocher des histoires déjà parues :
- Mon premier voyage de femme libre,
- Rendez-vous coquin dans la garrigue,
- Ma première fois en club libertin.
Des lecteurs voulaient à tout prix mieux percevoir le ressenti de Paul mon mari. Alors, nous avons décidé décrire une histoire où le narrateur serait Paul.
Paul, qui est davantage photographe quécrivain, sest chargé de me donner la matière avec laquelle jai écrit son histoire.
Je suis marié avec Éva depuis un peu plus de trente ans. Jai toujours adoré, adulé ma femme. Son corps, ses courbes, ses fesses, ont été lobjet de mes désirs et de mes fantasmes les plus fous et, étant photographe, Éva a été ma source dinspiration pendant toutes nos années communes. Ce sont ainsi des centaines de milliers dimages que jai enregistrées.
Si les thèmes photographiques étaient très académiques au début, ils ont vite évolué vers lextérieur. Adepte du flashing et de lexhibition, je photographiais Éva dénudée dans les rues. Nous jouions à réaliser les images les plus dénudées sans que les gens sen aperçoivent. Le jeu est risqué, mais aussi excitant.
Certaines fois, des hommes ayant vu notre manège, nous ont suivis pour profiter du spectacle.
Réaliser des photos dexhibition nécessite des vêtements appropriés : Jachetais à Éva des robes portefeuilles, à boutons ou bien avec un zip. Des robes rapides à ouvrir et à refermer. Nous nous amusions même à faire nous-mêmes des vêtements originaux. Parfois, Éva était nue sous un simple manteau ou un trench.
Je profitais de nos promenades pour défaire un, deux, ou parfois trois boutons. Le vent soulevant, écartant le vêtement avec le risque quÉva se retrouve partiellement dénudée.
Les photos généraient bien souvent des jeux érotiques entre nous. Je bandais dur et Éva mouillait dexcitation.
Je passe sur certains moments délicats où nous avons failli nous faire prendre, mais cela a toujours été sans conséquence négative. Les souvenirs ont contribué à solidifier notre couple.
Jai toujours été fier de mon Éva. Fier dêtre près delle. Pour moi, elle a toujours été la chance de ma vie et je trouvais dommage dêtre seul à en profiter doù les exhibitions et plus classique, la fréquentation des plages naturistes.
Nos jeux ont fini par évoluer. Je lui ai dit que je laimais plus que tout et que, ce qui mimportait, cétait de la savoir épanouie. Épanouie dans sa vie de femme, mais aussi et surtout sexuellement. Je lui ai confié que je comprenais ses besoins sexuels et je savais quune femme pouvait avoir beaucoup plus de jouissances quun seul homme ne pouvait lui donner.
Je précisais que pour son épanouissement, jétais prêt, par amour, à lui laisser une totale liberté. La seule condition, cest que je ne voulais pas être cocu. Cela signifie pour moi quelle ne devait rien me cacher. Quelle pouvait avoir des amants, et que je lencourageais dans ce sens, mais quelle devait tout me dire, quon devait tout partager. La condition, cétait quelle me raconte tout en détail à son retour.
Je lui ai expliqué ce qu'était le candaulisme. Elle a été tentée par lexpérience.
Au début, elle avait beaucoup de réticences car Éva avait peur dêtre jugée comme étant une salope qui trompe son mari. Elle avait peur également de mes réactions. Cest facile de se dire candauliste, cest parfois difficile dassumer pour lhomme face à des amants très performants et très bien montés.
La première fois
La première fois est toujours difficile. Trouver un partenaire qui nappartient pas à son cercle de relations et qui plaise à sa femme. Un partenaire séduisant, désirable et qui ne génère pas de problème.
Jai trouvé lhomme qui semblait correspondre au profil recherché. Il habitait à Nîmes, près de chez nous. Je lai rencontré à plusieurs reprises. Un jour jai proposé à Éva de manger au restaurant avec un ami photographe. Les femmes sentent les choses. Elles ont un instinct plus fort que les hommes. Elle a accepté linvitation. Elle sest apprêtée un peu plus soigneusement quà laccoutumée. Une petite robe noire avec des empiècements transparents en dentelle, une paire de dim-up et des escarpins. Elle était magnifique.
Elle rajouta une touche de rouge à lèvres avant de sortir de la voiture.
Au restaurant
Mon ami Pierre était déjà arrivé. Il nous attendait. Je présentais Éva. Lambiance était sympa, le champagne était de rigueur et a un favorisé la désinhibition dÉva. Le courant passait bien entre eux deux. Pierre était cultivé et Éva parlait beaucoup avec lui. Certainement un moyen desquiver lobjet principal, mais jeus beaucoup de plaisir à ce que notre relation à trois soit aussi fluide.
Nous nous séparâmes à la sortie du restaurant. Pierre serra Éva dans ses bras un peu plus étroitement que la bienséance le conseille, mais je vis ma femme se laisser aller avec un grand sourire.
Jinvitais Pierre à nous rejoindre vendredi soir dans notre mas afin dapprofondir les échanges que nous avions eus.
Éva et moi regagnâmes la voiture main dans la main sans un mot, encore plein des émotions de la soirée.
Arrivés chez nous, nous nous embrassâmes passionnément et nous fîmes lamour tendrement au milieu de nos coussins éparpillés dans notre séjour.
Une fois remis de nos émotions, je proposais à boire à Éva pour parler de notre soirée et de notre nouvel ami. Éva était hésitante. Elle avait des difficultés à parler librement de la soirée. Je sentais que Pierre lattirait, mais elle ne voulait pas me lavouer.
Pendant que je parlais de Pierre, je la caressais.
Elle mexprimait ses craintes quelle puisse ne pas lui plaire. Quil était trop bien pour elle ; plus jeune
Finalement, Éva lâcha prise et jouit en mavouant quelle se sentait prête à céder à son charme
Et, elle ferma les yeux et jouit profondément, sans aucune retenue.
Le vendredi soir
Jétais très excité dans la préparation de notre première soirée. Javais acheté des petits en-cas, des tapas, du champagne et du Chablis. Javais préparé une bonne playlist. Javais positionné quelques caméras aux points stratégiques. Je ne voulais rien manquer et surtout, pouvoir regarder toutes les images par la suite pour mon plus grand plaisir.
Si tout se passait bien, Éva allait enfin baiser avec un autre homme devant moi !!!
Éva sétait préparée. Elle avait enfilé une petite robe noire à bretelles et une paire de bas. Je lui avais proposé de ne pas mettre de sous-vêtements. Elle mavait disputé pour cette proposition indécente. Elle avait rougi. Mais quand je lai vue se baisser pour ranger les coussins, jai vu quelle navait rien mis la coquine.
Pierre pensait arriver vers 19 heures trente. Il voulait passer chez lui pour se changer et prendre une douche. Je lui avais proposé de venir la prendre chez nous. Il avait accepté.
Il arriva à lheure prévue. Éva et moi lattendions sur le pas de notre porte. Je tenais ma femme contre moi. Pierre était élégant. Un pantalon de toile, léger et une chemise blanche. Il offrit un magnifique bouquet de roses pour Éva. Éva me le tendit pour lembrasser afin de le remercier de sa délicate attention. Sa robe légère se souleva au-dessus de ses bas
Javais déjà une érection maximum.
Éva fit découvrir notre pièce de vie à Pierre qui semblait enchanter par la déco.
La température était encore douce à cette heure à lapproche de lété. Nous en profitâmes pour faire le tour de notre mas construit au milieu de la garrigue montpelliéraine. Éva était entre nous deux. Éva nous tenait la main. Le coucher de soleil bas faisait un peu cliché, mais nous ne pouvions pas rester insensibles au paysage qui soffrait à nos yeux. Nous nous rapprochâmes dÉva pour la tenir, Pierre et moi, par la taille. Éva était tétanisée. Elle nosait plus parler, de peur que sa voix ne trahisse son trouble. Pierre lui parla avec sa voix douce et ses mots charmeurs. Il lui dit quelle était si séduisante, si belle, si excitante, quil navait pas arrêté à penser à son invitation. Éva semblait envoûtée par ses paroles.
Javoue avoir été un peu jaloux un instant.
Je prétextais un besoin de vérifier les préparatifs pour les laisser tous les deux
.
Je rentrais à la maison en courant, montais à létage où lon avait un point de vue sur lendroit où se trouvaient Éva et Pierre et je pris mes jumelles photo pour regarder et photographier ces premiers instants dintimité.
Pierre avait toujours son bras autour de la taille dÉva dont la tête était penchée sur lépaule de notre ami. Pierre dut dire quelque chose de drôle car je vis Éva rire. De quoi faire tomber un peu la tension. Je vis la main de Pierre descendre lentement sur les fesses dÉva en une subtile caresse. Voyant quÉva ne soffusquait pas outre mesure de son audace, Pierre appuya davantage sa caresse. Je vis sa main passer sous la robe dÉva pour palper ses fesses nues
.
Éva se retourna dune pirouette, lui prit la main et le ramena à la maison.
Tout cela semblait se présenter pour le mieux. Je naurais jamais cru Éva capable de se laisser attr aussi vite par Pierre et jen étais ravi.
Je les retrouvais dans le salon. Je rappelais alors à Pierre sil souhaitait toujours prendre sa douche avant de manger. Comme il acquiesçait, Éva se proposa de lui montrer la salle de bains et de lui donner une serviette.
Holà, holà, cela commençait à semballer
Enfin, jallais pouvoir vivre et ressentir ce quétait être candauliste, pour mon plus grand plaisir et surtout, celui dÉva !!! Mon sexe navait pas débandé depuis près de quarante-cinq minutes. Mon gland était à létroit dans mon caleçon !!!
Je déclenchais les caméras situées dans la salle de bains en espérant quil ny aurait pas trop de buée.
Je vis par la suite que Pierre sétait déshabillé et quand Éva entra pour lui donner une serviette, il était déjà en érection. Une queue de très belle taille, comme javais pu voir sur les photos quil mavait montrées. Éva était bloquée sur le pas de la porte de la salle de bains. Ses yeux ne quittaient pas lr sexe de Pierre qui sen amusa. Cest lui qui vint vers Éva et qui lui prit la serviette et la main pour la serrer contre lui. Ce fut leur premier baiser.
Pierre remonta la robe dÉva pour lui prendre les fesses à pleines mains. Éva se décolla de Pierre, enivrée, mais perdue, et prête à repartir, mais Pierre la fit revenir et je ne sais pas ce quil lui dit, mais je vis Éva se mettre à genoux pour prendre sa queue dure et droite à pleine mains. Elle hésitait, puis commença à lécher le gland tout gonflé de désir. Petit à petit, elle senhardit, puis goba totalement le gland de la verge de Pierre. Elle se déchaina sur sa queue comme je lavais rarement vue faire.
Pierre étonné, face à lénergie débridée dÉva, lui demanda darrêter car il voulait se garder pour plus tard.
Il releva Éva. Lembrassa à nouveau passionnément, la laissa sortir et prit sa douche.
Jétais en train de placer les roses dans un vase quand Éva redescendit de létage. Elle était toute rouge, un peu gênée. Je la pris dans mes bras et lembrassais. Nos salives se mélangèrent et je sentis une odeur étrangère. Jen fis la remarque à Éva qui rougit à nouveau et membrassa.
Pierre descendit, seulement vêtu de mon peignoir. Éva le remercia à nouveau pour son si beau bouquet.
Nous nous installâmes autour de la table basse, assis sur des coussins. Je proposais à Éva de faire le service. Je savais quelle sefforcerait de se baisser pour montrer ses fesses !!! Pierre me fit un clin dil ravi.
Jétais toujours en érection. Quel plaisir de la voir aussi sexy ; de la sentir si libre, si légère et si heureuse de charmer son amant.
Éva vint sasseoir entre nous. Jouvris le champagne et nous trinquèrent à notre Éva jolie. La tension sexuelle restait palpable. Nous tentions de parler légèrement de tout et de rien. Alors que je me penchais pour attr un morceau de fromage, japerçus la main dÉva qui sétait égarée sous le peignoir de Pierre pour lui caresser sa queue toujours aussi tendue. Pierre avait un sourire béat. Ma femme prenait un réel plaisir à branler son amant. La robe de ma belle était remontée et ne cachait plus grand-chose.
Je profitais dun baiser furtif pour lui baisser une bretelle. Pierre fit de même. Les seins dÉva séchappèrent de sa robe. Nous nous penchâmes aussitôt pour prendre en bouche ses tétons durcis par lexcitation. Eva se laissa aller en arrière afin de profiter de nos caresses buccales. Nos mains nétaient pas de reste. Éva ronronnait, gémissait sous nos jeux de mains.
Je prétextais la nécessité daller en cuisine pour les laisser tous les deux. En fait, je minstallais dans un fauteuil et, ma queue sortie, je me masturbais en les regardant se donner du plaisir.
Éva prit la queue de Pierre dans sa bouche et lui fit une fellation passionnée dont elle a le secret. Malgré la taille de lengin, elle lenfonçait profondément dans sa gorge pour le plus grand plaisir de Pierre. Son regard alternait, de moi à son amant. Ny tenant plus, elle vint sasseoir sur son pal pour le chevaucher. Elle se laissa descendre lentement. Et lorsque quelle put sentir les couilles de Pierre contre ses fesses, elle sarrêta, se contracta et jouit
Une jouissance sourde, profonde, longue. Son amant la tenait fermement par les fesses afin daccen celle-ci.
Je mapprochais silencieusement des deux amants, et après avoir embrassé et remercié Éva pour le spectacle quelle mavait offert, je lui proposais, demmener Pierre dans notre chambre pour saimer sans retenue, en toute intimité.
Ainsi, je vis Pierre monter lescalier en serrant dans ses bras Éva, mon amour, nue, seulement vêtue de ses bas. Jeus un petit pincement au cur, mais ma bandaison toujours bien réelle me ramena à ma condition de candauliste, choisie et que je me devais dassumer jusquau bout.
Je branchais les caméras placées dans notre chambre et, afin de me calmer, je me mis à ranger notre salon. Une fois le rangement terminé, dans le silence de la pièce, je pouvais entendre les gémissements, les cris et les jouissances successives dÉva. Pierre avait été un bon choix. Cétait un bon queutard qui savait donner du plaisir aux femmes avant le sien.
Je passais dans mon bureau afin de commencer à visionner les premières images de ma femme avec son amant. Je ne pus tenir longtemps. Jéjaculais très rapidement, trop excité de voir ma femme prendre autant de plaisir. Un plaisir différent quelle naurait jamais connu si elle était restée fidèle.
Le matin, je me réveillais tôt, comme dhabitude. Je mis la table et préparais le petit déjeuner. Jimaginais que les deux amants seraient affamés. Lodeur du café dut les réveiller, car je les vis descendre aussitôt. Pierre était toujours vêtu de son peignoir. Éva avait choisi un déshabillé noir en dentelles qui ne cachait pas grand-chose. Si Pierre paraissait légèrement fatigué, Éva était totalement détendue, épanouie par une nuit damour sans fin. Quel plaisir de la voir aussi radieuse. Jétais à nouveau excité par le spectacle offert par les deux coquins. Éva vint se serrer contre moi et membrassa passionnément. Sa bouche sentait son amant pour mon plus grand plaisir.
Nous déjeunâmes, en parlant de tout et de rien, comme pour un petit déjeuner ordinaire, alors que ma femme venait de passer une nuit damour avec son amant dans notre lit conjugal. Cétait incroyable. Jétais satisfait, tout en sachant que je ne pourrais jamais raconter cela à qui que ce soit (sauf à mes lecteurs de HDS
).
Une fois le petit déjeuner savouré, nous fîmes tous les trois un tour dans la propriété éclairée par un beau soleil. Éva se tenait bien serrée entre ses deux hommes. Nous étions bien.
Lheure passait. Pierre voulait prendre une douche et Éva se proposa de laccompagner.
Je réactivais les caméras. Éva me racontera ensuite quils sétaient savonnés avec les mains, puis corps contre corps, et quenfin, elle voulut terminer cette rencontre par une dernière fellation. Elle branla et avala toute la crème de son amant. Cétait le bouquet final de leur première nuit damour.
Il y en a eu dautres que je vous raconterai un jour si vous le souhaitez.
Je dédie cette histoire à deux de mes fans candaulistes : Didier et Patrick.
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